Les meilleures techniques d’investissement dans l’immobilier
Historiquement, l'immobilier est l'un des types d'investissement les plus prisés par les Français. Étant donné que l'éducation financière dans le pays n'en était qu'à ses balbutiements jusqu'à récemment, les investisseurs se sont tournés vers des placements plus populaires. Mais ce scénario a commencé à changer et, il y a quelques années, d'autres types d'investissement sont devenus populaires, notamment les fonds immobiliers. Le marché de l'immobilier est l'un des plus importants de l'économie et offre de nombreuses possibilités.
Pourquoi est-il bon d'investir dans l'immobilier ?
Comme nous l'avons dit, la construction et le marché immobilier occupent une place importante dans l'économie nationale en termes de mouvements de fonds, d'attraction d'investissements, de création d'emplois, entre autres chiffres importants.
En tant que tel, ce marché offre un certain nombre d'avantages à ceux qui souhaitent exploiter le potentiel économique du secteur :
- Appréciation : possibilité d'une augmentation des prix et des cotations.
- Liquidité : il s'agit d'un marché de produits financiers avec une excellente liquidité.
- Revenus passifs : possibilité de se constituer un patrimoine afin de vivre de ses revenus.
- Risques diversifiés : un large éventail d'options d'investissement permet de diversifier les risques.
- Préservation du patrimoine : le marché immobilier subit également des ajustements de valeur et dispose de son propre indice d'inflation.
- Avantages fiscaux : certains types d'investissement sont exonérés de l'impôt sur le revenu.
L'investissement dans l'immobilier locatif est-il une bonne affaire ?
L'une des alternatives les plus populaires pour ceux qui investissent dans le secteur immobilier est d'acheter un bien immobilier pour le louer et percevoir ainsi des revenus passifs. Mais est-ce la meilleure option ?Si vous envisagez d'investir dans l'immobilier, vous devez être conscient de certains points.Cependant, il faut également tenir compte de ce que personne ne mentionne, à savoir : les périodes d'inoccupation (sans locataires), l'entretien nécessaire du bien, les taxes, les coûts bureaucratiques et administratifs lors de l'achat ou de la vente, les défauts de paiement, entre autres.
Les fonds immobiliers
L'investissement le plus recherché aujourd'hui dans ce secteur, que ce soit par les particuliers, les entreprises ou les investisseurs institutionnels, sont les fonds immobiliers.
Dans les fonds de placement immobiliers, plusieurs investisseurs apportent une fraction des actifs totaux du fonds qui, sous l'administration d'un gestionnaire, sera investie dans la construction et/ou l'exploitation de propriétés commerciales ou de produits sur le marché immobilier. Par conséquent, l'actionnaire profite à la fois de l'appréciation de ses actions et de la perception des loyers des biens immobiliers ou des revenus générés par le fonds, puisqu'il est tenu de distribuer au moins 95 % du résultat net entre les actionnaires.
Comment investir directement dans l'immobilier physique ?
Outre les titres et les produits des marchés financiers liés au secteur de l'immobilier, les investisseurs peuvent également élaborer des stratégies en investissant directement dans l'immobilier.
Dans un premier temps, il est possible d'acheter des terrains dans des zones à fort potentiel d'appréciation. Cette stratégie est souvent adoptée pour constituer un patrimoine à long terme, le revendre ou le léguer aux héritiers.
N'oubliez pas qu'il est nécessaire de réaliser une étude régionale et d'étudier la qualité du terrain afin d'estimer son potentiel de plus-value.
Une autre stratégie très répandue consiste à acheter un bien immobilier pour le revendre, qu'il soit prêt à l'emploi ou sur plan. L'idée est d'acheter un bien et de le revendre plus cher à l'avenir, lorsqu'il aura pris de la valeur.
Cet investissement doit également prendre en compte les coûts des taxes, des frais de notaire, des frais de courtage immobilier, de l'entretien du bien, entre autres dépenses qui peuvent réduire le rendement final.